Les mains habiles du professeur glissèrent sur ses épaules nues, effleurant les globes lisses et fermes des seins. Sous le prétexte d’un ajustement de vêtement, il s’attarda à décrire le creux de son dos, tandis qu’elle retenait sa respiration entre deux conseils techniques. L’air tiède de la salle de golf imprégnait leurs regards complices alors qu’il murmurait : « Tu joues comme une chatte en rut… » Sa voix vibrait d’une tension qui traversa son corps, et ses seins tremblèrent sous le tissu du polo.
Elle frissonna. Son mari ne lui avait pas caressé les lèvres de la chatte depuis des années. Un soupir s’échappa lorsque sa bouche se posa sur sa nuque, mordant la peau sensible à l’endroit où le col de chemise se refermait. Les ongles du professeur firent glisser une bretelle vers le haut pour révéler un sein luisant de sueur et d’envie. « Viens dans mon bureau », souffla-t-il en décrivant des cercles avec son pouce, taquinant le mamelon durci.
La porte claqua derrière eux. Son sexe se gonfla entre ses jambes tandis qu’il la plaquait contre un mur lambrissé. Des doigts s’enfoncèrent dans ses fesses pour écarter ses cuisses tremblantes. « Tu es à genoux, salope », grommela-t-il en la forçant à se prosterner devant son sexe dur et gonflé. Elle ouvrit les lèvres pour engloutir son membre entièrement, suçant avec ferveur avant qu’il ne la pousse contre le sol. « Vas-y… avale-moi ! »
Elle gémit en avalant sa bite, ses seins rebondissant sous lui. Un gémissement s’échappa lorsque son clitoris fut happé entre des lèvres expertes. Ses cuisses furent écartelées pour qu’il puisse regarder sa chatte rasée et humide. « Putain, tu es magnifique », dit-il en glissant un doigt dans son cul, taquinant le petit trou jusqu’à ce qu’elle se contracte sous l’excitation.
La main de la femme saisit ses testicules tandis qu’il lui écartait les fesses avec ses dents. Ses yeux roulèrent en arrière alors que son sexe dur était avalé à nouveau, sa bouche étouffant les gémissements de plaisir. « Suce-moi jusqu’à ce que je décharge dans ta gorge », ordonna-t-il entre deux coups de reins violents et brusques contre sa bouche.
Un râle monta des profondeurs de son ventre lorsqu’il se retira soudainement pour la retourner à quatre pattes. Sa chatte fut écartée par ses doigts avant que le sexe du professeur ne se loge en elle, d’abord dans son cul, puis dans sa chatte. « Double pénétration… je t’enfonce comme une salope », gémit-il, et les sons de frottements secs remplirent l’espace.
Ses seins rebondissaient sous lui alors qu’il luttait pour garder son équilibre entre ses cuisses. Ses talons firent tomber ses baskets, et il enfonça sa bite dans un rythme bestial. « Regarde-moi… je vais jouir », supplia-t-elle pendant que sa chatte se contractait autour de lui pour le sucer, l’aspirer vers un orgasme violent.
Un jet de sperme jaillit entre ses fesses et ses seins, giculant sur sa poitrine. Il serra son cul dans ses mains et hurla lorsqu’il crut sentir sa chatte se vider à travers les spasmes qui parcouraient son corps. « Vas-y… vide-toi », murmura-t-il avant qu’un autre orgasme ne l’emporte, laissant des éclaboussures de pisse mêlée de sperme couler entre ses cuisses.
Il lui mordit le cou pour étouffer son râle quand il sentit ses doigts se glisser dans sa chatte. « Tu as bu mon sperme… », murmura-t-il en écartant ses fesses une nouvelle fois. Ses yeux brûlants de désir se posèrent sur son cul et sa chatte, encore trempées du liquide de l’amour, tandis que ses doigts taquinaient les orifices brûlés par son sexe.
Elle gémit quand il lécha le trou humide de son cul, son visage enfoncé entre ses fesses. « Je vais te sucer encore », dit-il avant qu’elle ne se relève pour avaler son sexe une nouvelle fois. Ses seins ballottèrent sous leurs coups violents et rythmés jusqu’à ce que leur corps trempé se recouvre d’une fine pellicule de sueur.
« Encore… », murmura-t-elle, ses seins offerts à sa bouche. Il écarta ses fesses pour lécher son cul et sa chatte en même temps, et ses gémissements remplirent l’espace tandis qu’il lui suçait les seins entre deux coups de langue brûlants. « Vas-y… je t’attends », murmura-t-il avant de se retirer pour la pénétrer à nouveau.
Leur corps soudé dans un rythme haletant, elle sentit son sexe dur se loger à l’intérieur d’elle alors qu’il lui tenait les seins et ses fesses. « Plus fort… », supplia-t-elle entre deux gémissements étouffés par des baisers avides de ses seins.
Une amatrice au hasard :