Isabelle ajusta son tablier entre les étagères polies du bureau directorial, ses seins généreux se pressant contre le tissu. La lumière tamisée mettait en valeur sa peau halée et sa silhouette pulpeuse. Ses longues jambes gainées de collants noirs disparaissaient sous un short court qui soulignait son cul rebondi. Elle effaçait les traces du passé comme le désir qu’elle étouffait, ses doigts glissant sur la surface lisse d’un bureau. Son regard croisa celui de Marc, son patron, qui s’appuyait contre le chambranle, un sourire énigmatique flottant sur ses lèvres entrouvertes.
« Vous devriez enlever vos chaussures », murmura-t-il d’une voix chaude, les mains dans les poches. Ses yeux descendaient lentement vers sa chatte rasée que le short laissait entrevoir. Isabelle s’immobilisa, son souffle suspendu tandis qu’elle retirait ses talons avec une lenteur calculée. La soie de ses collants frictionna sa peau alors que Marc avançait, son sexe dur et gonflé tendant contre le tissu de son pantalon.
Il la prit par les hanches pour l’attirer vers un angle obscur du bureau. Ses doigts se faufilèrent entre ses fesses écartées, touchant sa chatte humide avant d’en explorer le rebord. « Tu as des formes à couper le souffle », chuchota-t-il, son pouce plongeant dans son cul pour y introduire un doigt ferme et chaud. Isabelle gémit en sentant son clitoris se contracter sous ses caresses expertes.
Son sexe sorti de sa braguette, il le pressa contre ses lèvres entrouvertes avant que ses dents ne mordent son cou. « Ouvre-toi », ordonna-t-il alors qu’elle avalait son gland avec avidité. Son visage se noyant dans les plis chauds de sa bouche, il grogna tandis qu’elle suçait à pleine bouche, ses lèvres soudées autour de sa queue palpitante.
Isabelle sentit une main se glisser entre ses fesses pour écartelé son cul. Un doigt troua son anus avant de se retirer et de plonger dans sa chatte brûlante, laissant un arrière-goût salé sur ses lèvres. « Plus fort », supplia Marc, ses hanches s’enfonçant dans la bouche de sa femme de ménage.
Elle se releva pour le guider vers son cul enflamme. Ses fesses nues contre le mur, elle accueillit les doigts experts qui préparèrent son anus avant qu’il ne la pénètre avec une violence feutrée. « Vas-y doucement », haleta-t-elle quand il se retira pour replonger dans son cul et sa chatte ouverte par ses doigts.
Les gémissements de Marc remplissaient l’espace clos tandis que leurs corps se fondaient en un rythme frénétique. Son sexe dur palpitait à l’intérieur d’elle, une main serrant son cou pour la forcer à avaler ses érections successives pendant qu’il plongeait dans sa chatte. « Tu aimes ça ? » demanda-t-il entre deux gémissements, avant de s’enfoncer de nouveau dans son cul.
Isabelle se cambra en arrière quand il introduisit une main entre ses jambes pour caresser son clitoris, son sexe enflé et palpitant lui servant de levier. « Oui ! Plus fort ! » cria-t-elle, son corps vibrant des coups de reins précipités. Le bruit mat des étreintes résonnait entre les murs alors qu’il lui arrachait plusieurs orgasmes en même temps.
« Mords-moi », supplia-t-il quand il s’enfonça une dernière fois dans son cul, laissant exploser sa semence dans un grognement rauque. Isabelle se laissa glisser à terre, l’air chargé d’effluves salaces de sexe et de sueur. Ses seins tressautaient encore sous le pantalon en lambeaux tandis qu’elle regardait son cul rose, marbré de coups de reins.
« Tu es une salope », murmura Marc, laissant ses doigts se perdre dans ses cheveux collés à sa nuque. « Mais je reviendrai te baiser chaque jour si tu continues comme ça. » Isabelle rit doucement avant de se redresser, son regard noirci par le désir. « Je t’attends… » répondit-elle en ramassant ses talons et son tablier, la chatte encore dilatée par les caresses du patron.








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