La porte du pressing grinait sous l’air vif d’un matin gris. La femme mariée, ses seins lourds et fermes se pressant contre son chemisier de soie, ajusta son sac à dos tandis que son regard croisait celui d’un jeune étudiant aux bras musclés, chargé de linges froissés. Ses doigts effleurèrent les manches de sa veste, laineuse et chaude contre ses ongles vernis en rouge bordeaux. Il y eut un silence entre eux, une vibration presque audible, tandis qu’il souriait avec cette timidité qui cache des désirs plus profonds.
Ses seins se soulevaient à chaque inspiration, écrasés doucement par la laine de son cardigan. Lorsqu’il lui tendit un ticket de machine libre, ses pouces effleurèrent le bout de son index, une chaleur électrique parcourant sa peau. La tension naissante se mêlait aux sons atténués des machines tournantes et du bruit mat des linges, créant une ambiance où chaque souffle semblait résonner comme un appel. Elle sentit ses joues s’empourprer, son sexe humide se contractant à la perspective de cette rencontre imprévue.
Il revint deux jours plus tard avec une valise pleine de tissus délicats qui exigeaient des soins spéciaux. Ses mains habiles glissaient entre les draps et ses cuisses, révélant une peau douce sous le coton. « Je pourrais y aller… » murmura-t-il, son souffle frôlant son cou tandis qu’il se rapprochait derrière elle. Ses doigts trouvèrent les contours de sa chatte rasée, ses ongles traçant des formes lentes et humides entre ses plis, avant de la pénétrer d’un index ferme, explorant son intimité avec une précision scientifique.
Elle gémit doucement alors qu’il la soulevait à califourchon sur une table de tri. « Regarde ta chatte », chuchota-t-il en se penchant pour plonger sa langue dans ses plis, aspirant son clitoris avec avidité pendant qu’il introduisit un deuxième doigt en elle. Le bruit des machines tournantes se mêla à ses gémissements étouffés et aux raclements de sa gorge quand il la força à engloutir son sexe dur et gonflé, lui arrachant une fellation dévorante.
La tension monta avec l’intensité des frissons parcourant leurs corps. Elle se retrouva à quatre pattes sur un tapis de séchage, ses fesses écartées par ses doigts qui traçaient des cercles autour de son trou du cul avant d’y insérer un premier doigt. « Doux Jésus… » haleta-t-elle tandis qu’il la masturbait avec une main, et que l’autre s’attaquait à sa chatte enflammée. Ses cuisses tremblèrent lorsqu’il recouvrit son doigt d’un index supplémentaire pour dilater son anus, préparant le terrain à des pénétrations plus violentes.
« Tu as une chatte qui suce… » Il glissa une main entre ses fesses, étalant les fluides de sa chatte et son cul, avant que ses hanches ne s’enfoncent en elle avec une force inattendue. La douleur de son sexe entrant dans son anus se mêla à la satisfaction d’un désir insatiable. Il lui écarta les fesses pour mieux regarder son cul tendu sous son index qui continuait de l’exciter, tandis qu’il la pénétrait sans pitié.
Ses gémissements résonnaient dans le silence soudain du pressing, son cul et sa chatte en fusion autour de ses doigts et de son sexe. « Encore… », supplia-t-elle, se tordant sous lui tandis qu’il jouait avec son clitoris en même temps que son membre entrait et sortait dans son cul. La sensation d’une main sèche caressant son dos, puis glissant entre ses seins pour agripper sa chatte et la masturber, fut un déclencheur brutal vers une double pénétration qui lui arracha un cri rauque.
Il se retira de son cul avant d’y insérer deux doigts en même temps que son sexe remplissait à nouveau sa chatte. « Regarde ton cul », ordonna-t-il, et elle obéit, étonnée par la vision de ses fesses roses ouvertes et tremblantes sous leurs attaques simultanées. La friction de ses doigts et son membre provoqua un orgasme qui se répandit en vagues dans tout son corps, tandis qu’il jouissait à l’intérieur d’elle avec une force animale.
« Tu as avalé mon sperme… », murmura-t-il plus tard alors que ses seins reposaient contre sa poitrine. Le bruit des machines en fond se mêla aux respirations erratiques, et son sexe lui sembla encore dur, dressé dans un creux de son dos. Elle rit faiblement, sentant à peine le froid de la pièce, son corps encore vibrant de leurs étreintes…








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