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Je n’avais jamais pensé que ça arriverait un jour, encore moins dans ce décor. La salle de classe, en fin d’après-midi, était baignée d’une lumière dorée qui filtrait par les grands rideaux poussiéreux. L’air sentait le bois ciré des pupitres, la craie encore présente sur le tableau, et cette odeur particulière des salles fermées trop longtemps. Les autres élèves étaient déjà partis depuis longtemps. Ne restaient qu’elle et moi.

Madame R., professeure de littérature. La quarantaine élégante, stricte, avec ses chemisiers boutonnés jusqu’au cou et ses lunettes rectangulaires. Toujours sérieuse, intransigeante. Mais ce jour-là, il y avait quelque chose de différent dans son regard, une tension que je n’avais jamais remarquée.

J’étais venu sous prétexte d’éclaircissements sur un devoir. Elle avait accepté de m’attendre après les cours. On s’était retrouvés seuls, le silence seulement troublé par le bruit lointain des pas du concierge dans le couloir.

Elle s’était approchée du tableau, avait corrigé une phrase, puis s’était tournée vers moi. Nos regards se sont croisés. Un long moment, suffisant pour comprendre que l’ambiance venait de basculer.

Je me suis levé, j’ai fait quelques pas. Mon cœur battait. Elle ne recula pas. Au contraire, elle a ôté lentement ses lunettes, les posant sur le bureau.
– « Tu n’imagines pas ce que tu es en train de faire, » a-t-elle murmuré.

Je n’ai pas répondu. J’ai avancé encore, j’ai posé ma main sur sa hanche. Elle a sursauté, mais ne m’a pas repoussé. Ses lèvres se sont entrouvertes. Alors je l’ai embrassée. Un baiser brûlant, vorace. Elle m’a rendu le baiser aussitôt, sa langue trouvant la mienne.

En quelques secondes, sa blouse était entrouverte. Ses seins, plus lourds que je ne l’avais imaginé, jaillissaient de son soutien-gorge noir. Je les ai pris dans mes mains, les ai mordillés, suçotés, ses tétons durcis entre mes lèvres. Elle gémissait, ses mains crispées sur mon dos.

Elle a reculé, s’est assise sur le bureau, sa jupe relevée. J’ai glissé mes doigts entre ses cuisses, trouvé sa culotte trempée. L’odeur de sa chatte m’a frappé, forte, musquée. Elle haletait, les yeux brillants.
– « Tu ne devrais pas… mais continue… »

J’ai arraché sa culotte, plongé ma langue dans son sexe. Elle a crié, sa main serrant ma nuque, me forçant à la lécher plus vite. Son goût salé emplissait ma bouche, ses jus coulaient sur mon menton. Elle jouissait déjà, ses jambes tremblantes autour de ma tête, son dos arqué, ses gémissements résonnant contre les murs de la salle vide.

Quand je me suis redressé, ma queue gonflée sortait de mon pantalon. Elle l’a saisie aussitôt, ses doigts serrés, puis sa bouche chaude a englouti mon gland. Je grognais, ma main sur son crâne, tandis qu’elle m’avalait avec une gourmandise insoupçonnée. Le bruit humide emplissait la salle, amplifié par l’écho des murs nus. De la salive dégoulinait sur ses seins, brillait sur le bois du bureau.

Je n’ai pas tenu. Je l’ai allongée sur le bureau, jambes écartées. Ma bite a glissé en elle d’un coup sec. Elle a hurlé, ses ongles griffant le bois. Je la prenais en missionnaire, ses talons frappant mes hanches. Ses seins ballottaient, ses cheveux collaient à son front de sueur. L’odeur de sexe saturait l’air, mélange de sueur et de cyprine.

Je l’ai retournée, mise à quatre pattes sur le bureau. Ses fesses rondes se dressaient, offertes. Je l’ai enfilée par derrière, mes coups secs faisaient trembler les cahiers et les stylos. Elle criait, haletait, sa voix couvrait presque les bruits du couloir.

Puis elle s’est penchée encore, écartant ses fesses de ses mains.
– « Dans mon cul… je veux sentir ça… »

Mon cœur a bondi. J’ai craché dans ma main, enduit mon gland, pressé contre son anus serré. Elle a gémi, puis a hurlé quand je me suis enfoncé, lentement. Son cul brûlant m’enserrait, étroit, incroyable. Elle se caressait le clito en même temps, ses cris se transformant en hurlements.

Je la sodomisai sur le bureau, mes mains marquant ses hanches, mes coups secs résonnant dans toute la salle. Elle jouissait encore, ses spasmes serrant mon sexe, son corps tremblant.

Je l’ai remise debout, dos au tableau. Elle s’est agrippée à la craie, son cul cambré. Je suis revenu en elle, alternant entre sa chatte trempée et son cul serré. Elle griffait le tableau, des traces blanches restant sur ses mains. Ses seins lourds se balançaient, ses gémissements emplissaient la pièce.

Je sentais ma jouissance monter. Elle m’a regardé, les yeux brillants, le rouge aux joues.
– « Gicle en moi… je veux tout sentir… »

Dans un râle, j’ai explosé, mon sperme brûlant jaillissant dans son cul. Elle a crié, jouissant en même temps, son corps secoué de spasmes.

On est restés collés un instant, haletants, l’odeur de sueur et de sexe saturant la salle de classe. Puis elle a remis ses lunettes, l’air sévère revenu sur son visage.
– « Si tu parles… je nie tout. Mais… » Elle a souri. « Je t’attendrai demain. Même heure. »

Et en quittant la salle, je savais que chaque fois que je reverrais ce bureau, ce tableau, je me rappellerais le goût de sa chatte, la chaleur de son cul serré, et ses cris de plaisir résonnant dans les murs de l’école.

Une amatrice au hasard :