Clique sur la photo de Femme mariée baisée dans la piscine municipale pour passer en privé!

La piscine venait de fermer depuis une bonne demi-heure. Je faisais partie du personnel d’entretien, et je terminais souvent plus tard que prévu.
Ce soir-là, je croyais être seul… jusqu’à ce que je l’aperçoive.

Elle nageait tranquillement dans le grand bassin, seule, éclairée par les projecteurs immergés. Claire, la quarantaine, blonde, corps encore ferme et musclé. Je savais qu’elle était mariée à un gars du coin, mais ça ne l’empêchait pas de sourire chaque fois qu’on se croisait.

– Vous savez que la piscine est fermée depuis un moment ? je lance en m’approchant du bord.
– Oui… mais j’avais envie de nager tranquille. Et puis… vous n’allez pas me mettre dehors, si ?

Elle sort de l’eau, monte les marches, et c’est comme si elle le faisait exprès : son maillot une pièce est collé à sa peau, révélant chaque courbe. De fines gouttes roulent le long de ses cuisses.
Elle marche vers moi, laissant une traînée d’eau sur le carrelage.
– J’ai pas envie de partir…

Elle s’arrête juste devant moi. Ses yeux plantés dans les miens, elle pose ses mains sur ma taille, comme si elle voulait tester ma réaction.

Je lui rends le geste, mes doigts glissent sur ses hanches mouillées. Elle se penche et m’embrasse, sans prévenir. Sa bouche est fraîche, salée par l’eau.
– Tu veux pas me rejoindre dans l’eau ?

Je retire mon tee-shirt, mon short, et je plonge. Elle m’attend au centre du bassin. On nage l’un vers l’autre, et dès que je l’attrape, elle entoure mes épaules de ses bras et m’embrasse à nouveau.

Ses mains descendent, se glissent dans mon boxer. Ma queue est déjà dure, et elle la caresse sous l’eau.
– Je crois que j’ai trouvé une meilleure façon de me réchauffer…

Elle se hisse sur le rebord du bassin, assise, jambes écartées. Son maillot glisse sur le côté, dévoilant sa chatte parfaitement épilée.
Je m’approche, me place entre ses cuisses et commence à la lécher. Le goût de l’eau chlorée se mêle à celui, plus intime, de son excitation qui monte vite.

Elle s’allonge complètement sur le dos, gémissant à voix basse. Mes doigts la pénètrent, ma langue joue sur son clitoris.
– Oh oui… continue…

Elle se redresse soudain, m’attrape par la nuque et m’embrasse, puis me repousse doucement.
– Viens là, j’ai envie de toi…

Je retire complètement mon boxer. Elle se met à genoux sur le bord, se penche, et commence à me sucer. L’eau ruisselle encore de ses cheveux, ses lèvres glissent parfaitement sur ma queue.

Je n’en peux plus. Je la fais se relever, lui enlève complètement le maillot, et la fais entrer à nouveau dans l’eau.
Elle s’accroche à l’échelle métallique, se cambre légèrement. Je me place derrière et je la pénètre d’un coup.
Sa chaleur contraste avec l’eau fraîche, c’est électrique.

Je la tiens par les hanches, mes coups résonnent légèrement contre l’échelle. L’eau éclabousse à chaque mouvement.
Elle se retourne pour m’embrasser, puis se remet face à l’échelle, gémissant à chaque va-et-vient.

On change encore : je la soulève, ses jambes autour de ma taille, et je la prends face à face, en la maintenant contre le rebord. Ses ongles s’enfoncent dans mes épaules, ses seins rebondissent sous mes yeux.
– Oh putain… oui… encore…

Je sens qu’elle est proche. Son corps se tend, elle jouit, ses jambes se crispent autour de moi.

Je continue, plus vite, plus fort, jusqu’à sentir ma propre montée. Je me retire, me branle rapidement, et je gicle sur son ventre et ses seins encore mouillés.
Elle sourit, se laisse retomber dans l’eau pour se rincer.

On reste encore quelques minutes à flotter, silencieux. Puis elle s’approche de moi, un dernier baiser avant de sortir.
– Merci pour… cette séance nocturne.

Elle s’en va par la porte de service, laissant derrière elle une odeur de chlore et de sexe mêlés.

Une amatrice au hasard :