Clique sur la photo de Femme mariée enculée par le mec de la salle de sport pour passer en privé!

Elle l’avait rencontré à la salle de sport, entre deux séries de squats et des sourires échangés devant les miroirs. Corps musclé, sourire franc, un de ces types qui respirent la confiance. Cela faisait déjà plusieurs séances qu’ils se tournaient autour. Et ce soir-là, elle avait franchi le pas : « Tu veux boire un verre chez moi ? »

Il n’avait pas hésité. En la suivant, il s’attendait à la classique aventure clandestine, maison vide, mari en déplacement. Mais quand ils franchirent la porte, il eut un choc. Le mari était assis sur le canapé, une bière à la main.

— « Qu’est-ce que… ? » commença l’amant, surpris, prêt à battre en retraite.

Elle posa sa main sur son bras, apaisante.
— « T’inquiète. Tout est ok. Mon mari a perdu un pari. »

Le mari leva les yeux, un sourire crispé aux lèvres.
— « Règle du jeu… je regarde. Rien d’autre. »

L’amant fronça les sourcils, hésitant. Mais l’épouse insista, ses yeux brillants de malice :
— « Je t’explique. Tu vas bien me baiser, ici, dans ce salon. Il va rester là, sans bouger. Et pour être sûr qu’il profite bien, tu vas prendre des photos de moi avec mon téléphone et les lui envoyer. Compris ? »

Le type sourit, un mélange de gêne et d’excitation.
— « Putain, ça me va. »

Elle retira son blouson de sport, dévoilant une robe moulante sous laquelle elle ne portait rien. Son corps athlétique, ses seins fermes, ses hanches pleines apparurent sous la lumière tamisée. Elle s’approcha de l’amant, colla ses lèvres aux siennes. Ils s’embrassèrent avec avidité, langues entremêlées, comme s’ils attendaient ça depuis des semaines.

Derrière eux, le mari serrait sa bière, le souffle court, impuissant.

Elle sortit son smartphone de son sac et le mit dans les mains de son amant.
— « Première photo. Déshabille-moi. »

Il s’exécuta. La robe glissa le long de son corps, révélant sa nudité. Il fit claquer une photo de ses seins dressés, puis une autre de sa chatte déjà humide. Il lui envoya aussitôt via la messagerie, le mari recevant les clichés en direct, son téléphone vibrant sur la table basse.

— « Voilà », souffla l’amant en la prenant par la taille. « Maintenant, je veux ton cul. »
— « Tu l’auras », répondit-elle, un sourire carnassier aux lèvres.

Il la poussa contre le mur, écarta ses jambes, et la pénétra brutalement par la chatte. Elle cria, son dos claquant contre la cloison. Ses mains agrippaient ses fesses, l’enfonçaient encore plus. Sa queue dure coulissait en elle avec force, luisante déjà de mouille.

Le mari gémissait presque autant qu’eux, incapable de détourner les yeux.

Entre deux coups de reins, l’amant reprit le smartphone, prit un cliché de sa queue enfoncée dans la chatte brûlante, et l’envoya. Le mari reçut l’image : sa femme empalée sur une bite autre que la sienne, bouche grande ouverte de plaisir, jambes tremblantes. La chasteté du mari cocu était mise à rude épreuve.

— « Tu vois ? » haleta-t-elle vers son mari. « Je t’avais dit que tu regretterais ce pari… »

Ils changèrent de position. Elle s’agenouilla sur le tapis du salon, se mit à quatre pattes. L’amant la prit en levrette, ses coups de reins résonnant dans toute la pièce. Elle criait, ses seins ballottant, ses cheveux collés de sueur.

Il reprit une photo : gros plan de son cul offert, sa bite disparaissant en elle. Un nouvel envoi. Le mari grogna, bandant malgré lui.

— « Plus fort ! » cria-t-elle.
— « T’inquiète pas », répondit l’amant, claquant ses hanches contre ses fesses.

Puis, il retira sa queue, la fit se retourner, jambes écartées sur le tapis. Il posa le smartphone sur une pile de coussins, activa la caméra, mode rafale.

— « Là, je veux un souvenir vidéo pour ton mari », dit-il en se branlant une seconde devant elle.

Il enfonça de nouveau sa bite en elle, cette fois dans son cul. Elle hurla, ses mains crispées sur le tapis. Son anus l’avalait centimètre par centimètre, serré, brûlant. Elle adorait ça. Son mari le savait mieux que personne : elle jouissait toujours plus fort ainsi.

L’amant la pilonna brutalement, ses fesses claquant contre les siennes, ses couilles battant sous son ventre. Les cris résonnaient, le canapé tremblait, et le mari transpirait, spectateur impuissant, bandant dans son jean.

— « Tiens ton téléphone », ordonna-t-il à l’épouse. Elle prit un selfie pendant qu’il la sodomisait, la bouche ouverte, les yeux révulsés. Elle l’envoya aussitôt à son mari, qui la reçut en direct : sa femme, jouissant de se faire enculer par un autre.

— « Je vais jouir », grogna l’amant, ses coups de reins devenant frénétiques.
— « Dans mon cul », haleta-t-elle. « Je veux que tu me remplisses là. »

Un dernier coup brutal, et il explosa en elle, son sperme jaillissant profondément dans son anus. Elle hurla son orgasme en même temps, ses fesses serrées sur lui, ses jambes tremblant sous l’effort.

Il resta un instant enfoncé, haletant, puis se retira. Une coulée blanche glissa entre ses fesses. Elle passa deux doigts, se les lécha avec un sourire insolent, yeux rivés sur son mari.

— « Pari perdu », souffla-t-elle.

Le mari resta muet, son téléphone encore chaud des photos reçues. L’amant remit son short de sport, reprit une gorgée de la bière posée sur la table basse, et sortit sans un mot.

Elle, nue, ruisselante, se tourna vers son mari.
— « Maintenant… c’est à toi de nettoyer. »

Une amatrice au hasard :